Yann Marguet humoriste suisse la pilule les orties

6 minutes de fou-rire sur la pilule | Les Orties, RTS

Vous en avez marre d’entendre parler de toutes les souffrances contraceptives que se traînent les femmes pour assumer la charge contraceptive ? Envie de rire un bon coup de tout ça ? Parce que mieux vaut en rire qu’en pleurer : regardez absolument cette vidéo de l’humoriste suisse Yann Marguet sur la pilule !

Du désinvestissement total des hommes de la contraception en passant par l’impact de la pilule sur le corps des femme, le fait qu’elles doivent non seulement en supporter les effets secondaires comme la baisse de libido et qui plus est se la payer elles-mêmes sur leur budget (sans oublier “les poissons qui deviennent pédés” par la faute des rejets d’hormones dans les eaux usées) ! Yann Marguet n’oublie rien et ça décoiffe !

“Mais bon Dieu, c’est pourtant pas compliqué de s’envoyer une dose d’oestrogènes dans le corps qui vous défonce la biologie ! “

 

“La pilule, les filles elles pissent puis après ça va dans le lac et ça fait des poissons pédés !”

 

“La pilule, on va pas se mentir c’est quand même pas mal cette merde […] C’est pratique pour les mecs, rien besoin de penser ! […] Nous on peut en foutre partout, dehors, dedans, on s’en fout, c’est les nanas qui gèrent !”

 

“Gérez mesdames, vous le faites si bien, on aime pas trop  vous confier des postes à résponsabilité et des salaires top élevés mais la contraception ça c’est votre truc, vous le faites comme personne !” 

“La pilule existe aussi sous sa forme “du lendemain” pour celles qui n’ont pas envie de se prendre une petite dose d’hormones tous les jours mais une bonne grosse dose une fois de temps en temps !”

 

“La pilule si c’est la Yasmine ou la Diane 35 c’est encore mieux pour pas tomber enceinte vu que tu meurs !”

 

Comme dirait l’autre, merci Yann pour ce moment !

 

Pour creuser le sujet de manière moins humoristique et plus scientifique, lisez J’arrête la pilule et découvrez son histoire étonnante, son impact sur la santé et l’environnement et les alternatives non hormonales déjà existantes.